Un pianiste a donné sa démission dans un bar, le patron met un écriteau « cherche pianiste ». Quelques jours après, un type crasseux, les yeux injectés, titubant, puant l’alcool et le tabac entre dans le bar, prend l’écriteau et dit « je postule ».

Le patron: vous êtes pianiste ?.

Le gars: à l’origine, non. J’étais pilote de chasse au Vietnam, mais quand ils m’ont enlevé mon Thunderbolt, c’était plus drôle, j’ai démissionné et je me suis mis à boire et au piano aussi.

le patron ( pas convaincu) : bon, on fait un essai

Le gars s’installe, annonce   « je vais jouer : Quand je vois des gros nichons, j’allume ma post-combustion » . Personne ne l’écoute ou le regarde dans le bar, mais dès qu’il commence à jouer, le silence se fait. Le gars joue en virtuose, un frisson passe dans la salle. A la fin, il salue et dit « c’est moi qui l’ait écrit ». Tonnerre d’applaudissements, et bis demandé. Il s’assied et dit « je vais vous jouer : il y a du brouillard ce soir, chérie, écarte les jambes pour que je vois bien la ligne au milieu de la piste d’atterrissage. » il rejoue et à nouveau, un grand frisson passe dans la salle. il termine en disant « c’est moi qui l’ait écrit ».

La patron vient vers lui : c’est formidable, vous êtes engagés. Puis il lui dit un peu plus bas :  Euh, vous savez : votre braguette est ouverte et votre bite dépasse ?

Le gars: bien sur que je le sais, c’est moi qui l’ait écrit.